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21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 07:30

Pour rappel :


Article 1 : Il est établi au profit de la commune à partir du 1er janvier 2009 et pour une période de 1 an, expirant le 31 décembre 2009, une taxe annuelle sur l'enlèvement et le traitement des déchets ménagers et des déchets y assimilés.

Article 2 : L'impôt est dû par le chef de tout ménage, et solidairement par les autres membres du ménage, inscrit au 1er janvier ou recensé comme second résident pour cet exercice, ainsi qu'à charge de toute exploitation commerciale ou autre, occupant à quelque fin que ce soit au 1er janvier tout ou partie d'un immeuble situé sur le parcours suivi par le service d'enlèvement.

Les exploitations commerciales utilisant le service d'une entreprise privée pour le ramassage de l'entièreté de leurs déchets pourront être exonérées de cette taxe sur la base d'une copie de leur contrat de ramassage.

Article 3 : L'impôt consiste en un montant annuel forfaitaire.
Toute année commencée sera due dans son entièreté, la situation au 1er janvier étant seule prise en compte. Par conséquent, le redevable s'installant dans la commune après le 1er janvier ne sera taxé qu'à partir de l'année suivante. Le paiement se fera en une seule fois.


Le taux de la taxe est fixé comme suit :

- 60 € par an pour les personnes isolées;

- 90 € par an pour les ménages de deux personnes;

- 105 € pour les ménages de trois personnes;

- 115 € pour les ménages de quatre personnes et plus.

Pour l'ensemble de ces ménages, le paiement de la taxe donnera lieu à l'octroi de rouleaux de dix sacs poubelles gratuits, à savoir un rouleau pour les personnes isolées, deux rouleaux pour les ménages de deux personnes, trois rouleaux pour les ménages de trois personnes et quatre rouleaux pour ceux de quatre personnes et plus.

 

Distribution des rouleaux

La commune prévoit de distribuer les sacs poubelles beiges le dimanche 7 juin 09 à l’occasion des élections régionales et européennes sur les différents sites de vote de 8H00 à 15H00.


Pour recevoir vos rouleaux, vous devez être en ordre de payement concernant votre taxe « immondices 2008 ».


Pour plus de renseignements : Mme Demoulin, service environnement : 04/377.98.09


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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 19:06
Didier Reynders veut remettre le MR au pouvoir en Wallonie "pour empêcher la majorité PS-cdH de continuer à nuire", dit-il lundi dans les quotidiens du groupe Vers l'Avenir.

Même si le président du Mouvement Réformateur préférerait travailler avec les Ecolos, il n'exclut aucun partenaire de majorité, même pas le PS.

"Si le 7 juin, on a l'occasion - et c'est notre premier objectif - d'empêcher que cette majorité PS-cdH continue à nuire, ce qu'on cherchera c'est des partenaires prêts à réformer en profondeur", affirme Didier Reynders dans un entretien accordé à Vers l'Avenir.

Si le MR arrive au pouvoir en Région wallonne, M. Reynders mettra en avant trois "axes forts": la gouvernance, le développement économique et "l'enseignement, la formation, la mise au travail".

"Il n'y a pas d'exclusive sur les formations politiques (...) Je ne peux pas empêcher le cdH et le PS - dont on sent bien qu'ils sont d'accord déjà - de continuer ensemble et de faire bloc pour empêcher un certain nombre de majorités", reconnaît le ministre des Finances.

Il se dit prêt à gouverner la Région wallonne avec le PS, mais "ce serait dans l'affrontement. De nouveau face à face, comme au fédéral".

"Mais au moins dans ce cas-là, on fait passer un certain nombre d'idées, de projets (...) Ce qui me frappe, à la Région et à la Communauté, c'est qu'on a l'impression qu'il y a un parti socialiste et rien d'autre", conclut-il. (belga/cb)


N'hésitez pas à commenter cet article !


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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 20:46

La Cour des comptes a réalisé un audit sur le Forem, le service régional de l'emploi et de la formation. Elle a transmis son rapport ce 25 mars 2009 aux parlementaires wallons.


A propos des APE (aides à la promotion de l'emploi), la Cour pointe que le contrôle des déclarations justificatives des aides, dans les secteurs marchand et non-marchand, n'a pas encore commencé deux ans après le constat de risque élevé d'indu. Des rappels doivent encore être adressés à plusieurs employeurs, surtout dans le secteur marchand. Or, les APE représentent 526 millions en 2009, soit plus de la moitié des subventions de la Région wallonne au Forem.


L'audit remet en cause les méthodes d'attribution des marchés publics.

Pour répondre à un même besoin et pour le même type d'opérateurs, le Forem recoure tantôt à la technique de subvention, tantôt à celle du marché public.

La Cour constate des "manquements liés à une méconnaissance de la réglementation", et ce depuis 2005.

Elle pointe aussi des "saucissonnages" de certains marchés pour échapper au contrôle interne. Le rapport préconise une évaluation plus précise des besoins et des évaluations plus rigoureuses.


La Cour remet aussi en cause l'octroi d'une subvention de 459.000 euros à la CSC et à la FGTB pour l'engagement de 22 accompagnateurs sociaux dans le cadre du plan d'accompagnement des chômeurs.

Cette situation peut créer une confusion d'intérêt, des problèmes de contrôle, et un risque de discrimination entre demandeurs d'emploi, selon qu'ils sont syndiqués ou non.


La gestion des ressources humaines, notamment pour les cadres, prête le flan aux critiques.

Certains agents bénéficient de compléments pour leur faire bénéficier d'un traitement de rang supérieur. Ce que la Cour juge "non conforme". Elle pointe aussi la contractualisation massive, qui a des conséquences négatives sur la gestion des RH, et un risque sérieux quant à l'objectivité de la sélection.

 

Source : guidesocial.be

Commentaire : Une sérieuse reprise en main s'impose !



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26 mars 2009 4 26 /03 /mars /2009 06:35
Louis Michel : « Ni Reagan ni Thatcher. Libéral ! »

DAVID COPPI

samedi 21 mars 2009, 14:57

Entretien LIBÉRALISME : « Stop à la diabolisation. » Reynders : « On est dans la mise à mort. » Crise : « Redonner envie ! Envie d’agir ! »

ENTRETIEN

Le MR lance sa campagne européenne ce samedi, en congrès à Bruxelles. Didier Reynders en président malmené, Guy Verhofstadt en invité vedette, Louis Michel en tête de liste… L’ancien président du MR, actuellement commissaire européen au Développement, revient d’un voyage à Cuba. Pas socialiste pour autant.


Louis Michel, donnez-nous l’axe fort de votre campagne…


Contre les manœuvres de diabolisation, valoriser le libéralisme ! Figurez-vous que si l’Europe a atteint son niveau de bien-être, c’est parce qu’elle est libérale, parce qu’elle a fondé sa prospérité sur l’économie de marché ; encadrée bien sûr, pour donner les mêmes chances à tous au départ, jouer sur l’excellence, redistribuer les fruits de la croissance.


Je suis très fier que l’on parle d’« Europe libérale ». Je me demande ce qu’eût été l’Europe marxiste ! Vous imaginez ? Comme à l’Est jadis… Totalitarisme, sociétés liberticides, pauvreté, régression. Sauvons notre miracle européen ! Sa nature libérale géniale. L’alchimie miraculeuse entre marché, solidarité, liberté.


 

Vous pressentez que vous aurez à vous défendre là-dessus…


Je n’aurai pas à me défendre, je serai offensif ! Il faut une Europe encore plus libérale, qui compte sur des gens qui en veulent, qui considèrent qu’une crise, ce n’est pas un drame, mais d’abord une opportunité. Pour se remettre en cause. Aussi pour retracer ce qu’est la puissance publique, l’Etat. La tâche des libéraux.


 

Vous parlez d’Europe « marxiste » en contrepoint de la « libérale »… Au milieu, il y a l’Europe « sociale-démocrate ». N’est-ce pas l’idée qui gagne ?


Eh bien non ! Et puis, c’est quoi l’Europe « sociale-démocrate » ?


 

On pense à la « régulation »…


La régulation ? Je n’aime pas ce mot. Il dit tout et rien. On ne comprend pas. Je préfère « réglementation ». Le « droit ». Ça, oui. La base du libéralisme : garantir les libertés par le droit. Lisez La norme sans la force de Zaki Laïdi. La valeur ajoutée de la puissance européenne, c’est le droit.


Le terme « régulation » a l’avantage de renvoyer à la « dérégulation » des années Reagan-Thatcher, identifiée parfois comme à l’origine de la crise actuelle

.

Mais je me sens aussi éloigné de Reagan et Thatcher que – je suppose, je l’espère pour lui – M. Di Rupo est éloigné de Khrouchtchev ! Qu’on arrête cette diabolisation approximative !


 

Il ne s’agit pas d’Elio Di Rupo, mais aussi de grands économistes, comme Joseph Stiglitz…


Je ne suis pas d’accord avec lui. Les experts sont utiles, mais lequel suivre ? Certains économistes disent, au contraire, que, dans cette crise, il faut moins de réglementation… Je ne suis pas de cet avis, mais voilà, ces théories circulent aussi. Moi, je constate que, malgré ses défauts, notre système socio-économique a produit une richesse sans précédent. Alors, soyons sérieux ! Ce n’est pas l’Europe libérale qui est en quoi que ce soit la cause de la crise financière, mais le capitalisme conservateur américain. Et je n’ai rien à voir avec ça, moi. Je l’ai dit, il faut ramener du droit, des règles. Sans être ridiculement interventionnistes. Car la règle ne doit pas être foisonnante, mais précise et juste.


Les partis libéraux n’ont-ils pas promu longtemps un discours contestable sur le « moins d’Etat » ?


Mais, à un moment donné, il en fallait moins, de l’Etat. Dans les années 70, celles de l’Etat socialiste… Enfin… j’ai toujours dit qu’il fallait, plutôt, « mieux d’Etat ». Je n’ai pas de préconçu idéologique, je suis un grand défenseur de l’Etat légitime. Mais pour cela, il doit être mesuré, juste, ne pas tuer les initiatives. Henrion disait : « L’Etat à chaque carrefour, pas à chaque volant ».


Cela étant, la crise étant associée, à tort ou à raison, à un certain libéralisme, ne craignez-vous pas pour le MR le 7 juin ?


Quoi ? Une campagne est faite pour expliquer, convaincre. Nous allons démonter les arguments fondés sur rien, tout ce mauvais procès au libéralisme, qui est le garant, justement, de la liberté comme de l’accès à l’éducation, à la santé, à la justice…


Votre libéralisme, votre MR, est celui de Didier Reynders ?


Vous connaissez ma réponse : pas un millimètre d’écart entre nous. Nous sommes différents, c’est tout. Je suis choqué de l’acharnement à son égard. Comme ministre des Finances, il était très exposé, mais la vérité est qu’il a fait exactement ce qu’il fallait faire. Toutes ces attaques ! C’est malhonnête intellectuellement. On n’est plus dans la critique, mais dans la mise à mort.


A la Chambre jeudi, Daniel Bacquelaine a eu des mots très durs pour Ecolo à la fin de la commission Fortis…


Il visait plus M. Nollet qu’Ecolo. Il a dépassé la limite. Ce sont des pratiques que je ne croyais pas possibles à Ecolo.


Didier Reynders a échoué à lancer son Orange bleue, son grand projet…


Cet « échec » n’est pas le sien, il est dû à l’alliance PS et CDH.


Vous croyez ?


Comment pouvez vous poser cette question ?… Chacun le sait : il y a un contrat de survie mutuelle, une assurance-vie gouvernementale PS-CDH. Une alliance de longue durée que seul un résultat électoral peut modifier. Et croyez-moi, celui du 7 juin pourrait être surprenant. Car le MR va un peu à l’élection seul contre tous… D’une certaine façon, ça clarifie. Ceux qui veulent une Wallonie dynamique, optimiste, n’auront pas le choix, ils devront bien voter MR. Faut-il rappeler le clash dans l’enseignement avec le décret mixité ? La façon dont M. Antoine utilise les deniers publics pour sa campagne ? Etc.


Mais la Wallonie est en redressement, non ?


On remonte à la période où les libéraux étaient au pouvoir, entre 1999 et 2004. Depuis lors, c’est la méthode Coué. Je ne dis pas que tout va mal, je respecte l’engagement socialiste, mais objectivement, il est temps de changer. Il n’y a pas eu de remise en question au PS, un parti qui surfe sur une sorte de survie quotidienne. Sans vision. Quelques personnalités se détachent. M. Demotte a des qualités, M. Marcourt tente de faire avec les moyens du bord, mais il y a à chaque fois un manque de vision, de « message ».


Celui du MR, d’un mot…


Envie ! Envie de Wallonie, d’Europe, d’optimisme. Le devoir du politique aujourd’hui, c’est de redonner envie aux gens. Recréer l’appétit de l’action. Non à la déprime !


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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 12:32
+ Profil des électeurs PS: voir l'infographie

Cela confirme certaines idées...

+ Pourcentage de confiance: voir l'infographie


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11 mars 2009 3 11 /03 /mars /2009 07:45

Fin 2007, une première étude sur les exclusions ONEM montrait que 46% des personnes exclues en Région wallonne atterrissaient au CPAS.


Sur une année, le nombre de personnes prises en charge suite à une sanction de l'ONEM s'élève à 6.547 personnes.

Le nombre de prise en charge a augmenté de 22% en un an, et a été multiplié par 7 en trois ans.

De plus, non seulement les sanctions sont plus fréquentes, mais les durées d'exclusion du chômage ont aussi tendance à augmenter.


Le coût net à charge des communes, après intervention de l'Etat et charges salariales comprises, est estimé à plus de 18 millions d'euros pour 2008.

Cette situation doit nous interpeller à TOUS les niveaux de pouvoir !



Savoir plus :
Voir l'étude Les exclusions ONEM : implications pour les CPAS (pdf, sur le site de l'UVCW)

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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 22:44
Florence ReuterLa Députée fédérale Florence Reuter a déposé plusieurs propositions de lois en vue d'améliorer le sort des pensionnés.

 

 

Une proposition de loi portant mesures d'harmonisation dans les régimes de pensions.
Actuellement, il existe des restrictions qui empêchent un travailleur ayant effectué une carrière mixte (par ex. ayant travaillé comme salarié puis comme indépendant) de bénéficier de la totalité de ses droits normaux à la pension dans les deux régimes. Il convient de mettre un terme à cette injustice !

 

Une proposition de loi relative au partage des droits à la pension entre époux et cohabitants légaux.
Les parents abordent la vie familiale de diverses manières. Certains couples préféreront par exemple que l'un des deux conjoints diminue volontairement son temps de travail pour s'occuper des enfants, de la famille. Lorsqu'un conjoint diminue son temps de travail, cela a bien sûr des conséquences sur le montant de sa pension future. Cette proposition vise à permettre, sur base volontaire, un partage des droits à la pension et à établir une certaine solidarité entre époux ou cohabitants pour cette période particulière.

 

Une proposition de loi cadre accordant la pension de survie aux cohabitants légaux.
Il s'agit ici d'accorder le droit à une pension de survie également au compagnon de la personne avec qui le défunt, ou la défunte, a conclu un contrat de vie commune passé devant notaire. Pourquoi à l'heure actuelle y aurait-il encore une discrimination entre les personnes mariées et celles qui cohabitent ?

 

Une proposition de loi complétant la loi du 28 avril 2003 relative aux pensions complémentaires et au régime fiscal de celles-ci et de certains avantages complémentaires en matière de sécurité sociale, visant à supprimer toute discrimination entre conjoints mariés et non mariés.
Aujourd'hui, il existe encore dans la loi en vigueur des distinctions fondées sur l'état civil dans les pensions complémentaires, notamment en matière d'avantages fiscaux. Cela ne peut plus être possible !

 

Ces propositions, disponibles sur le site internet de Florence Reuter, doivent à présent poursuivre leur parcours parlementaire.

 


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9 mars 2009 1 09 /03 /mars /2009 22:33
Sabine LaruelleSabine Laruelle, ministre des PME et des Indépendants
a présenté le Plan famille pour les Indépendants.

Ce Plan famille pour les indépendants regroupe des mesures complétant le statut social des travailleurs indépendants et des mesures visant à encourager le lancement et/ou le développement de l'activité.

 

Depuis 2003, le statut social des travailleurs indépendants fait l'objet d'une réelle attention des pouvoirs publics sous l'impulsion de Sabine Laruelle.
Avec un statut plus digne et plus respectueux, avec des prestations sociales plus égalitaires face à celles offertes aux salariés, le statut de travailleur indépendant est devenu un statut plus attractif.
Mais au-delà de la revalorisation de ce statut, l'exercice même de la profession d'indépendant peut être nettement amélioré, notamment au niveau des conditions d'un plus juste équilibre entre vie professionnelle et vie de famille.
En effet, quel autre statut social que celui des indépendants offre au travailleur une possibilité de flexibilité dans son emploi du temps, tout en lui assurant désormais une protection sociale meilleure qu'auparavant.

 

La Ministre a dressé un véritable Plan « Famille » pour les indépendants comprenant toute une série de mesures qui s'inscrivent dans cette logique d'une meilleure conciliation entre vie privée et vie professionnelle.

 

MESURES VISANT A COMPLETER LE STATUT SOCIAL

 

  1. Amélioration du congé de maternité
  2. Un soutien via les titres-services
  3. Un congé parental possible
  4. Encadrer le pire
  5. L'égalité entre les enfants
  6. Un partage des cotisations au sein du couple
  7. Un système de remplaçant, pour que l'activité se poursuive

 

MESURES D'ENCOURAGEMENT A L'ENTREPRENARIAT FEMININ

 

Avec 230.000 femmes indépendantes, notre économie repose en partie sur l'entreprenariat féminin, malgré les difficultés de la double casquette (vie professionnelle et vie de famille). S'il subsiste une différence majeure de traitement, il est essentiel de mettre en place des projets qui visent à encourager spécifiquement l'entreprenariat féminin.

 

1.  Des crèches et des gardes d'enfants adaptées
2.  Familio, un nouveau produit du Fonds de participation
3.  Une attention aux femmes rentrantes
4.  Mettre en place des actions de sensibilisation
5.  Soutenir les réseaux féminins
6.  Un regard au-delà de nos frontières

 

Ces mesures feront l'objet de concertations avec les organisations et institutions compétentes et seront mises en œuvre en fonction des moyens disponibles.

 

Toutes les informations relatives à ce plan sont disponibles sur le site :

http://www.planfamillepourlesindependants.be/

 


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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 14:16

L'Etat belge, Fortis Holding et BNP Paribas ont arrêté le 6 mars les principes d'un nouvel accord modifiant le protocole du 10 octobre 2008.


Aux termes de ce nouvel accord, l’Etat belge apportera à BNP Paribas 75% de Fortis Banque. Cette transaction permettra d’assurer le rôle essentiel de Fortis Banque au service de l’économie belge, en l’adossant au groupe BNP Paribas qui réalisera ainsi une opération stratégique de renforcement de son dispositif pan européen.
L’accord prévoit par ailleurs l’acquisition de 25% de Fortis Assurance Belgique par Fortis Banque, ce qui permettra de nouer un partenariat industriel fort dans le domaine de la bancassurance, et de redonner à Fortis Holding des perspectives industrielles claires comme leader de l’assurance en Belgique.


Le partenariat dans l’assurance est renforcé de la manière suivante :
• Fortis Banque achètera 25% de Fortis Insurance Belgium pour 1,375 Md€ ; le financement de cette transaction sera assuré par BNP Paribas ;
• Le contrat de distribution entre Fortis Insurance Belgium et Fortis Banque est confirmé jusqu’en 2020 ;
• BNP Paribas et Fortis Insurance étudieront les possibilités de coopération dans le domaine de la couverture des risques relatifs à l’automobile et à l’habitation afin de valoriser pleinement le savoir-faire de Fortis Insurance dans les marchés où le groupe BNP Paribas dispose d’un réseau de détail à l’exception de la France, la Belgique et la Turquie.

Autres changements principaux par rapport à l’accord précédent.
En ce qui concerne le SPV :
• L’exposition maximale de Fortis Holding dans le SPV est réduite de 1 Md€ à 760 Mios€. La part de l’Etat belge dans les fonds propres, avec impact sur la dette publique, est quant à elle réduite de 1,260 Mds€ (de 2 Mds€ à 740 Mios€) et celle de BNP Paribas est ramenée de 290 à 200 Mios€.

• Les actifs du SPV sont augmentés d’un montant net d’environ 1 Md€, après compensation des remboursements de près d’1 Md€ effectués au cours des derniers mois.
• La garantie de l’Etat sur la dette financée par Fortis Banque dans le SPV est réduite de 5 Mds€ à 4,36 Mds€.
• Le solde est assuré par une augmentation de la dette non garantie financée par Fortis Banque.

En outre, en compensation de la réduction de la participation de l’Etat dans le SPV :
• l’Etat apporte une garantie de couverture de pertes à terminaison sur le portefeuille d’actifs structurés conservés au sein de Fortis Banque.
• Cette garantie est plafonnée à 1,5Md€ et intervient après que Fortis Banque aura supporté les premières pertes à concurrence de 3,5 Mds€ par rapport au nominal.
• Possibilité pour Fortis Banque, pendant trois ans, d’émettre un titre de Tier 1 ou capital pour un montant maximum de 2 Mds€ souscrit par l’Etat belge.

Le droit sur la plus-value accordée par l’Etat belge à Fortis Holding sur sa participation dans BNP Paribas est maintenu et complété par une clause anti-dilution.
Enfin, les engagements de BNP Paribas en matière d’emploi, de gouvernance et d’établissement chez Fortis Banque d’un ou plusieurs centres de compétence européens ou mondiaux ont été confirmés et précisés dans une lettre aux autorités belges.
Cet accord sera prochainement soumis à l’approbation de l’assemblée générale de Fortis Holding.


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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 07:34

Oser le choix stratégique d’éviter que ne se développe un parti populiste en Wallonie est courageux mais pas au détriment du respect de l’adversaire politique.

Que le MR accueille un nouveau membre en la personne de M. Rudy Aernoudt ne me gène pas.

Au sein du MR, il y a différentes personnalités et toutes ont le droit de s’exprimer sans pour autant croire que tous vont les suivre.

Pour ma part, je ne soutiendrai jamais quelqu’un qui place le débat politique au niveau de l’insulte !

Chaque personne, quelle que soit sa situation (chômeur ou bien heureux travailleur) a droit à un minimum de respect.

S’il y a des abus, c’est eux qu’il faut éradiquer et surtout se doter des moyens de le faire.

Lors des prochaines élections, les listes MR seront suffisamment étoffées pour nous permettre d’accorder nos voix aux candidats qui défendent la Liberté pour chacun des membres de notre société.  

Etre libéral, c’est être épris de liberté ;
liberté d’opinion philosophique, politique, …,
liberté d’entreprendre, de travailler, de vivre différemment, d’être différent.

Etre libéral, c’est permettre à chacun de disposer d’un maximum d’atouts pour pouvoir effectuer ses choix de vie personnels.

Etre libéral,  c’est assumer ses choix et respecter ceux des autres ;
c’est promouvoir la diversité pour que chacun s’enrichisse de la différence de l’autre.

 


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Soumagne et Liberté

mrsoumagen046_edited.jpg 
A Soumagne, je vous propose un article
qui peut vous intéresser.

   
                                                                                                                 Bonne lecture et à bientôt
 Albert Rodeyns 
L'action au quotidien

Contact par courriel - GSM: 0494/609.578

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