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28 août 2008 4 28 /08 /août /2008 21:41

La première demande est introduite sur formulaire disponible auprès du directeur(trice) d'école, auprès du service des allocations d'études secondaires de la province où se situe l'école fréquentée, ou via un formulaire de demande, que vous pouvez commander via ce lien  Commandes

Un renouvellement est introduit sur formulaire envoyé automatiquement par le service ou à réclamer fin juillet

Le formulaire reprend toutes les données concernant la situation financière et familiale de l'élève et de la (des) personne(s) qui pourvoie(nt) à son entretien.
Il reprend aussi les données concernant la situation scolaire de l'élève qui devront être complétées par le(s) établissement(s) scolaire(s).

Il doit être introduit le plus tôt possible et sous pli recommandé, avant le 31 octobre 2008.

En général, l'élève doit :

  fréquenter un enseignement de plein exercice

  être élève régulier(ère) durant l'année scolaire concernée

  ne pas répéter une année d'études ou ne pas suivre une année de niveau égal ou inférieur à une année déjà accomplie auparavant. Une seule dérogation est possible au cours des études secondaires

Deux cas particuliers :

  si l'élève passe de l'enseignement professionnel à une année inférieure dans l'enseignement général, technique ou artistique, il (elle) peut encore bénéficier d'une allocation d'études (ce n'est pas considéré comme une année répétée).

  si, après une année régulière dans l'enseignement supérieur de type long ou court, l'élève réoriente ses études vers l'enseignement professionnel secondaire complémentaire (études d'infirmier(ère) en EPSC), il (elle) peut encore bénéficier d'une allocation d'études

 

L'élève devra rembourser son allocation, en tout ou en partie :

  s'il y a ajustement de son allocation provisoire

  s'il (si elle) a obtenu son allocation frauduleusement, sur base de déclarations fausses ou incomplètes
Attention : des intérêts de 12% seront appliqués.

  si une allocation à laquelle l'élève n'avait pas droit, a été versée, suite à une erreur dans le traitement de son dossier.

  si l'élève fréquente irrégulièrement les cours, s'il (si elle) abandonne l'école en cours d'année, s'il (si elle) ne passe pas tous les examens d'une session complète

 

Documents à joindre

  • les différentes attestations auxquelles le formulaire de demande d'allocation fait référence
  • une composition de famille délivrée par l'administration communale
  • une copie complète de l'Avertissement-Extrait de rôle relatif à l'exercice fiscal 2007, revenus de l'année 2006, du représentant légal de l'élève (père, mère, tuteur, ...) si les revenus sont déclarés en Belgique

si les revenus sont déclarés à l'étranger : une attestation délivrée par le Ministère des Finances du pays où travaille le représentant légal mentionnant le montant des revenus de l'année civile 2006 ainsi que le nombre de personne(s) fiscalement à charge

  • une copie du certificat d'études primaires, si l'élève n'a pas fait compléter son formulaire par l'établissement scolaire
  • éventuellement, une attestation reprenant les années d'études secondaires déjà poursuivies et les résultats obtenus.
  • Si ces études ont été poursuivies à l'étranger, un programme complet de ces cours et/ou tout document d'équivalence déjà obtenu en Communauté française de Belgique.
  • les documents rédigés dans une langue étrangère doivent être accompagnés d'une traduction en français établie par un traducteur juré.

 

Le montant de l'allocation d'études est calculé en fonction :

  des revenus

  du nombre de personne(s) à charge

Mais sont également pris en compte:

  l'année d'études

  le fait d'être externe ou interne

  le fait de bénéficier ou non d'allocations familiales (uniquement pour le secondaire complémentaire)

 

Le droit à une allocation d'études est déterminé par :

  les revenus des personnes de qui l'élève est fiscalement à charge

  les revenus de l'élève s'il (si elle) pourvoit seul(e) à son entretien.

Ce revenu est constitué du revenu imposable globalement additionné du revenu imposable distinctement (s'il en existe un).

  voir revenus maxima pour l'enseignement secondaire

  voir revenus maxima pour l'enseignement professionnel complémentaire

 

 

Une allocation d'études provisoire peut être accordée à l'élève si les revenus ont diminué suite à :

  un décès

  un divorce

  une séparation survenue entre le 1er janvier et le 31 octobre

  une mise à la pension ou à la prépension

  une perte d'emploi principal sans indemnité

  un arrêt de travail involontaire, et ce, y compris la faillite

  une période de chômage ou de maladie avec indemnité

  pour les agents des services publics, une mise en disponibilité pour maladie ou convenance personnelle

Le montant définitif de l'allocation sera établi après vérification des revenus de l'année 2008 ou 2009 :

  soit l'élève touchera un complément d'allocation

  soit il devra rembourser, en tout ou en partie,son allocation provisoire

Si les revenus imposables de l'année 2006 - exercice d'imposition 2007 - sont supérieurs à 150% des revenus maxima repris ci-dessus, une allocation provisoire ne pourra être attribuée qu'en cas de décès, divorce ou séparation

Toute fois il peut exister certaines conditions particulieres

 

Si la demande de l'élève est refusée ou s'il (si elle) conteste un remboursement partiel ou total, il (elle) peut envoyer une réclamation, par recommandé, dans les 30 jours qui suivent ce refus ou cette demande de remboursement

Si la réponse de l'Administration est à nouveau négative, il (elle) peut alors introduire un recours, par recommandé, dans les 30 jours, auprès du Conseil d'Appel des Allocations d'études


 

 

 

 

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31 juillet 2008 4 31 /07 /juillet /2008 06:57
Six jours de congés par an seront accordés aux familles accueillant temporairement des enfants.

En Belgique, 6.000 familles accueillent des enfants en difficulté qui ne peuvent plus vivre chez eux parce qu'ils ont été maltraités, négligés, abandonnés, ou simplement parce que leurs parents ne sont plus en mesure d'assurer leur éducation.


Le gouvernement a adopté un arrêté royal octroyant un congé spécifique de 6 jours par an pour les parents d'accueil.


Ces six jours de congé permettront aux familles d'accueil notamment de faire face aux obligations liées à cette activité, telle que la présence au tribunal, les démarches officielles ou les relations avec la famille biologique.


Un travailleur salarié nommé comme parent d'accueil aura désormais le droit de s'absenter du travail pendant 6 jours. Le congé peut être pris par l'un ou l'autre parent, du moment que le nombre de 6 jours par famille n'est pas dépassé.


Durant le congé, le travailleur bénéficiera d'une allocation journalière forfaitaire de 94,4 € payée par l'ONEm, après introduction d'une demande auprès d'un bureau de chômage. Ce montant correspond à l'allocation maximale applicable au congé de paternité.


La disposition entrera en vigueur après sa publication au Moniteur belge.


lu sur : guide social
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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 06:53

Des suppléments sociaux aux allocations familiales peuvent être octroyé aux parents qui se retrouvent en situation précaire : chômage, maladie, prépension...

Les bénéficiaires

Les personnes pensionnées, invalides ou handicapées peuvent obtenir un supplément pour les allocations familiales de leur enfant.

Peuvent aussi bénéficier d'un supplément ceux qui, pendant plus de 6 mois, sont au chômage, sont prépensionnés ou sont malades. Sous certaines conditions, la personne qui a été chômeuse ou malade pendant plus de 6 mois, et qui recommence à travailler, peut conserver le supplément pendant maximum 2 ans.

Les parents isolés avec enfants peuvent aussi recevoir un supplément.

Condition de revenus

Pour avoir droit au supplément, les revenus du ménage ne doivent pas dépasser un certain montant. Pour un parent isolé, les revenus (salaires et allocations) ne peuvent pas dépasser 1.810,35 € brut par mois. Pour les couples, la somme des revenus ne doit pas dépasser 2089,43 € brut par mois. Ne sont pas pris en considération pour ce calcul les allocations familiales, les pensions alimentaires, les allocations pour l'aide d'une personne handicapée/invalide, les indemnités de frais aux gardiennes ONE et les indemnités pour la tutelle de MENA.

La caisse d'allocations familiales examine spontanément si vous avez droit à un supplément et vous envoie automatiquement le formulaire nécessaire. Si vous pensez avoir droit à un supplément, contactez votre caisse d'allocations familiales.

(chiffres au 1er mai 2008)

lu sur : guide social

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10 juillet 2008 4 10 /07 /juillet /2008 15:08

Une prime annuelle est accordée aux parents pour soutenir financièrement la rentrée scolaire de leurs enfants.

Par rapport à l'année précédente, la prime a été élargie aux jeunes bénéficiaires de 18 ans et plus. La prime sera donc accordée pour tous les enfants âgés de 6 à 25 ans ouvrant le droit aux allocations familiales pour le mois de juillet 2008.

La prime de rentrée scolaire s'élève à :
- 53,06 € pour les enfants de 6 à 11 ans
- 74,29 € pour les enfants de 12 à 17 ans
- 25,00 € pour les étudiants de 18 à 25 ans

Les enfants de moins de 6 ans (nés à partir du 1er janvier 2003) n'ont pas droit à une prime cette année. Un supplément est toutefois prévu à partir de 2009.

La caisse d'allocation familiales paiera l'allocation vers le 10 août, ensemble avec les allocations familiales mensuelles de juillet.

(source : Partena)

lu sur : guide social

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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 16:15
Les couples vivant sous le régime de la cohabitation légale peuvent automatiquement hériter l'un de l'autre.
Une nouvelle disposition légale, entrée en vigueur le 18 mai 2007, vise à mieux protéger le cohabitant légal survivant en l'absence de testament.
La cohabitation légale a été instaurée en 1998. Elle formalise la cohabitation entre deux personnes majeures, sans condition de différence de sexes, ni d'absence de lien de parenté.
Elle peut donc concerner des partenaires de sexe différents, de même sexe, ou des frères et soeurs. Les cohabitants doivent contribuer aux frais du ménage, en proportion de leurs revenus.
Jusqu'ici, la cohabitation légale n'avait aucune conséquence sur la succession. Même avec un testament, le cohabitant légal ne pouvait disposer que d'une partie de la succession, les héritiers réservataires ayant la priorité. Et en cas de décès, le cohabitant survivant pouvait être expulsé du logement par les héritiers du partenaire décédé.
Avec la nouvelle loi, le cohabitant légal bénéficie automatiquement de l'usufruit de la maison et du mobilier.
Si les cohabitants n'ont pas d'enfants, ils peuvent hériter entièrement l'un de l'autre, les parents ne pouvant plus hériter d'office de la moitié.
Mais le cohabitant survivant doit aussi contribuer aux frais d'éducation des enfants, même si ce ne sont pas les siens. Et il pourra devoir assister les parents indigents du partenaire décédé.
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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 06:30

Depuis le 10 mai 2008, de nouvelles règles s'appliquent au transport des enfants en voiture.

La règle générale reste d'application. Si l'enfant mesure moins de 1,35 m, il doit voyager avec un dispositif de retenue adapté (siège, rehausseur). Les enfants qui mesurent plus de 1,35 m peuvent n'utiliser que la ceinture de sécurité.

Deux modifications sont entrées en vigueur le 10 mai. La première concerne l'homologation des dispositifs de retenue. Ceux-ci devront obligatoirement satisfaire à la norme R44/03, ou la R44/04 (plus stricte). Concrètement, le numéro d'homologation figurant sur le siège ou le rehausseur doit commencer par les chiffres 03 ou 04. La grande majorité des dispositifs de retenue utilisés actuellement répondent déjà à ces normes.

La seconde modification a trait à la suppression d'une exception lors du transport de 3 enfants. Lorsqu'il était impossible d'installer à l'arrière un troisième dispositif de retenue parce que les deux autres étaient déjà utilisés, un troisième enfant de moins de 3 ans pouvait prendre place à l'arrière sans dispositif de retenue (juste la ceinture de sécurité). Ce n'est plus autorisé. Le 3ème enfant devra prendre place à l'avant dans un dispositif de retenue, ou ne pourra plus voyager dans cette voiture.


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Soumagne et Liberté

mrsoumagen046_edited.jpg 
A Soumagne, je vous propose un article
qui peut vous intéresser.

   
                                                                                                                 Bonne lecture et à bientôt
 Albert Rodeyns 
L'action au quotidien

Contact par courriel - GSM: 0494/609.578

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